Hollandaise 2 : Rembrandt de près ou de loin, stabisme et angoisse de la cécité
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Re: Hollandaise 2 : Rembrandt de près ou de loin, stabisme et angoisse de la cécité
Et bien Rembrandt, lui, utilise ces variations de distance ou d'accommodation comme stratégie expressive.
En voici un exemple saisissant. Dans ce tableau Vieille femme lisant, il décrit avec une extrême précision les rides de la main posée sur le livre, alors que les traits du visage de la femme, pourtant à la même distance, sont à peine indiqués.
REMBRANDT 1631 VIEILLE FEMME LISANT



En voici un exemple saisissant. Dans ce tableau Vieille femme lisant, il décrit avec une extrême précision les rides de la main posée sur le livre, alors que les traits du visage de la femme, pourtant à la même distance, sont à peine indiqués.
REMBRANDT 1631 VIEILLE FEMME LISANT



Dernière édition par Jean-Yves Amir le Dim 6 Mar 2016 - 21:56, édité 1 fois
Jean-Yves Amir- Admin
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Re: Hollandaise 2 : Rembrandt de près ou de loin, stabisme et angoisse de la cécité
Ce procédé que je percevais de manière intuitive, j'en ai trouvé confirmation dans cet article de Loïc Mangin dans le n°396 de la revue "Pour la science".
http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/article-les-yeux-de-rembrandt-25905.php
En voici quelques extraits:
Le maître flamand jouait sur les textures, associant zones détaillées et zones plus floues, pour guider le regard des spectateurs. Lorsque nous regardons un paysage ou une œuvre d’art, nous n’en avons pas une vision uniformément détaillée. En effet, la rétine ne dispose que d’une petite zone (de la taille de l’ongle du pouce vu au bout du bras tendu) où la densité de cellules réceptrices est suffisante pour nous fournir une image précise. Aussi, nos yeux doivent-ils parcourir, par une série de mouvements rapides alternant avec des moments fixes, l’ensemble d’une scène pour que nous en ayons une perception globale. Le regard est donc un processus interactif dans lequel l’image mentale d’un tableau dépend notablement de la succession des phases de fixation.Plusieurs artistes contemporains exploitent ce fonctionnement de la vision dans la conception de leurs œuvres. (...)
Ce type de stratagème est-il réservé aux peintres de notre époque au fait des travaux des neurobiologistes et des spécialistes de la perception ? D’autres peintres ont-ils exploité la texture et le niveau de détail dans une peinture pour diriger le regard du public ? Selon Steve DiPaola, de l’Université Simon Fraser, à Vancouver, et ses collègues du Vision Lab de l’Université de Colombie-Britannique, au Canada, le pionnier serait Rembrandt !
Pour le montrer, ils ont analysé plusieurs portraits et autoportraits du maître flamand (page ci-contre, portrait daté de 1659) afin d’identifier les facteurs qui expliqueraient leur attrait.

Une de leurs expériences a consisté à « recréer » quatre des plus célèbres portraits de l’artiste avec des photographies (...). Sur ces copies, un programme informatique permettait d’accentuer le détail de certaines zones, par exemple les yeux ou le bas des joues , et d’en rendre plus floues d’autres de façon à retrouver la texture des œuvres originales (...).

Ces différents portraits, « à la Rembrandt » ou non, ont ensuite été présentés à des spectateurs dont les mouvements oculaires étaient enregistrés avec des caméras ultrarapides. Qu’ont révélé ces instruments ?
Face à un portrait reproduisant la technique du peintre, les yeux atteignent plus rapidement la zone riche en détails qu’avec une photo uniformément accentuée. De plus, une fois cette zone précise perçue, l’œil s’y attarde beaucoup plus longuement qu’ailleurs, ralentissant la succession de saccades : le regard se pose. En outre, la transition de zones au contraste marqué vers celles moins tranchées guiderait le regard à travers le portrait. On parle de technique aux « bords perdus et retrouvés ».

De plus, les observateurs ont préféré les portraits où leur regard est pris en charge plutôt que les photographies uniformes. L’emploi de textures différentes selon les régions du tableau est peut-être un des secrets du plus célèbre des peintres du XVII eme siècle. Rembrandt a probablement développé cette technique par tâtonnements, en suivant son intuition, et peut-être en réfléchissant aux mouvements de ses propres yeux. Néanmoins, l’examen d’autres tableaux montre que l’adoption du procédé a été progressive. En effet, un de ses autoportraits, peint en 1629, est uniforme et détaillé de la même façon quelle que soit la région. À l’inverse, sur un autoportrait plus tardif daté de 1661, les textures varient.
Le détail de ces expériences et leur illustration se trouve ici
http://dipaola.org/lab/research/rembrandt/

http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/article-les-yeux-de-rembrandt-25905.php
En voici quelques extraits:
Le maître flamand jouait sur les textures, associant zones détaillées et zones plus floues, pour guider le regard des spectateurs. Lorsque nous regardons un paysage ou une œuvre d’art, nous n’en avons pas une vision uniformément détaillée. En effet, la rétine ne dispose que d’une petite zone (de la taille de l’ongle du pouce vu au bout du bras tendu) où la densité de cellules réceptrices est suffisante pour nous fournir une image précise. Aussi, nos yeux doivent-ils parcourir, par une série de mouvements rapides alternant avec des moments fixes, l’ensemble d’une scène pour que nous en ayons une perception globale. Le regard est donc un processus interactif dans lequel l’image mentale d’un tableau dépend notablement de la succession des phases de fixation.Plusieurs artistes contemporains exploitent ce fonctionnement de la vision dans la conception de leurs œuvres. (...)
Ce type de stratagème est-il réservé aux peintres de notre époque au fait des travaux des neurobiologistes et des spécialistes de la perception ? D’autres peintres ont-ils exploité la texture et le niveau de détail dans une peinture pour diriger le regard du public ? Selon Steve DiPaola, de l’Université Simon Fraser, à Vancouver, et ses collègues du Vision Lab de l’Université de Colombie-Britannique, au Canada, le pionnier serait Rembrandt !
Pour le montrer, ils ont analysé plusieurs portraits et autoportraits du maître flamand (page ci-contre, portrait daté de 1659) afin d’identifier les facteurs qui expliqueraient leur attrait.

Une de leurs expériences a consisté à « recréer » quatre des plus célèbres portraits de l’artiste avec des photographies (...). Sur ces copies, un programme informatique permettait d’accentuer le détail de certaines zones, par exemple les yeux ou le bas des joues , et d’en rendre plus floues d’autres de façon à retrouver la texture des œuvres originales (...).

Ces différents portraits, « à la Rembrandt » ou non, ont ensuite été présentés à des spectateurs dont les mouvements oculaires étaient enregistrés avec des caméras ultrarapides. Qu’ont révélé ces instruments ?
Face à un portrait reproduisant la technique du peintre, les yeux atteignent plus rapidement la zone riche en détails qu’avec une photo uniformément accentuée. De plus, une fois cette zone précise perçue, l’œil s’y attarde beaucoup plus longuement qu’ailleurs, ralentissant la succession de saccades : le regard se pose. En outre, la transition de zones au contraste marqué vers celles moins tranchées guiderait le regard à travers le portrait. On parle de technique aux « bords perdus et retrouvés ».

De plus, les observateurs ont préféré les portraits où leur regard est pris en charge plutôt que les photographies uniformes. L’emploi de textures différentes selon les régions du tableau est peut-être un des secrets du plus célèbre des peintres du XVII eme siècle. Rembrandt a probablement développé cette technique par tâtonnements, en suivant son intuition, et peut-être en réfléchissant aux mouvements de ses propres yeux. Néanmoins, l’examen d’autres tableaux montre que l’adoption du procédé a été progressive. En effet, un de ses autoportraits, peint en 1629, est uniforme et détaillé de la même façon quelle que soit la région. À l’inverse, sur un autoportrait plus tardif daté de 1661, les textures varient.
Le détail de ces expériences et leur illustration se trouve ici
http://dipaola.org/lab/research/rembrandt/
Dernière édition par Jean-Yves Amir le Mar 20 Déc 2016 - 17:23, édité 2 fois
Jean-Yves Amir- Admin
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Re: Hollandaise 2 : Rembrandt de près ou de loin, stabisme et angoisse de la cécité
Très intéressant. La main de la femme est aussi très éclairée, avec une partie du livre, alors que le visage de la Vieille femme lisant semble plus dans l'ombre.
Dernière édition par Northman le Dim 6 Mar 2016 - 21:22, édité 1 fois
Northman- Messages : 547
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Re: Hollandaise 2 : Rembrandt de près ou de loin, stabisme et angoisse de la cécité
Pour ce qui concerne l'éclairage de la main et la pénombre du visage, oui, tu as raison. Le clair-obscur est bien sûr un des procédés utilisés par le peintre pour guider le regard du spectateur. Mais il n'explique pas tout.
Je suis très content d'avoir trouvé cette étude sur les variations de définition des textures comme "stratagème pictural" disons. Mais mon intérêt et mon étonnement grandissent encore en découvrant que Rembrandt aurait souffert de strabisme divergent. Je garde le conditionnel, car cela reste hypothétique et contesté... Néanmoins, je ne peux m'empêcher de trouver un lien entre cette hypothèse et mes remarques précédentes sur les effets de distance et la tension "rapprochement / éloignement" sensible dans de nombreuses oeuvres du peintre.
Sur le strabisme divergent de Rembrandt, voir cette étude de Margaret Livingstone résumée ici
http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJM200409163511224





Je suis très content d'avoir trouvé cette étude sur les variations de définition des textures comme "stratagème pictural" disons. Mais mon intérêt et mon étonnement grandissent encore en découvrant que Rembrandt aurait souffert de strabisme divergent. Je garde le conditionnel, car cela reste hypothétique et contesté... Néanmoins, je ne peux m'empêcher de trouver un lien entre cette hypothèse et mes remarques précédentes sur les effets de distance et la tension "rapprochement / éloignement" sensible dans de nombreuses oeuvres du peintre.
Sur le strabisme divergent de Rembrandt, voir cette étude de Margaret Livingstone résumée ici
http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJM200409163511224





Dernière édition par Jean-Yves Amir le Mer 21 Déc 2016 - 14:31, édité 7 fois
Jean-Yves Amir- Admin
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Re: Hollandaise 2 : Rembrandt de près ou de loin, stabisme et angoisse de la cécité
Jean-Yves Amir a écrit:
Pour ce qui concerne l'éclairage de la main et la pénombre du visage, oui, tu as raison. Le clair-obscur est bien sûr un des procédés utilisés par le peintre pour guider le regard du spectateur. Mais il n'explique pas tout.
Je suis très content d'avoir trouvé cette étude sur les variations de définition des textures comme "stratagème pictural" disons.
Aurais-tu un autre exemple chez Rembrandt, pour lequel le paramètre clair-obscur interviendrait moins, mettant ainsi mieux en valeur le paramètre de définition des textures ?
Northman- Messages : 547
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Localisation : Normandie
Re: Hollandaise 2 : Rembrandt de près ou de loin, stabisme et angoisse de la cécité
Northman a écrit:
Aurais-tu un autre exemple chez Rembrandt, pour lequel le paramètre clair-obscur interviendrait moins, mettant ainsi mieux en valeur le paramètre de définition des textures ?
La précision est liée à la lumière, nécessairement, puisque c'est elle qui permet d'accrocher les détails des textures. Il se produit néanmoins, même en pleine lumière, des "décrochements" étonnants. Le premier exemple que je te donnerai est le même

Compare le traitement de la main avec celui des écritures sur le livre, réduites à de simples lignes, alors qu'elles sont sous le même éclairage.

Un autre exemple ci-dessous.
REMBRANDT 1650 53 SAUL ET DAVID


Le turban de Saul n'est pourtant guère plus éclairé que sa cape rouge, leur différence de traitement est incroyable. Tandis que le premier donne un rendu précis du chatoiement des étoffes, les plis de la seconde ne sont suggérés que par quelques larges coups de brosse.

Jean-Yves Amir- Admin
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Re: Hollandaise 2 : Rembrandt de près ou de loin, stabisme et angoisse de la cécité
Toujours sur le strabisme de Rembrandt:
Source Pascal GRASLAND - Lycée Marie CURIE de VIRE http://p.jean2.pagesperso-orange.fr/vae/cours/visionrel.pdf
Le peintre hollandais Rembrandt (1606-1669) souffrait d’un strabisme divergent. Ce trouble, mis en évidence par Margaret Livingstone http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJM200409163511224 (chercheur à l’école de médecine de l’Université Harvard) sur des autoportraits, aurait entravé la vision stéréoscopique du peintre et contribué à son génie de la représentation en deux dimensions des trois dimensions de l’espace. Etait-ce un inconvénient pour l’artiste?
Vraisemblablement pas. En effet, pour représenter sur une toile à deux dimensions une scène tridimensionnelle, un peintre a souvent l’habitude de la regarder en fermant un œil. La vision stéréoscopique devenant alors inopérante, il pourra mieux "écraser" le relief. Rembrandt ayant une vision stéréoscopique absente ou très mauvaise, a pu se passer de ce stratagème que la plupart des professeurs d’art enseignent à leurs élèves. Il voyait automatiquement les scènes en deux dimensions et n’avait donc aucune difficulté à les transposer sur la toile. Selon une étude américaine, l’examen de 53 photographies de peintres célèbres a révélé un strabisme pour 28% d’entre eux alors que la prévalence dans la population est seulement de 5%!
Doit-on en conclure que les peintres sont avantagés par une vision stéréoscopique défaillante? Difficile à dire, mais avant d’emmener votre enfant atteint de strabisme chez un ophtalmologiste, donnez-lui des pinceaux!
Source Pascal GRASLAND - Lycée Marie CURIE de VIRE http://p.jean2.pagesperso-orange.fr/vae/cours/visionrel.pdf
Jean-Yves Amir- Admin
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Re: Hollandaise 2 : Rembrandt de près ou de loin, stabisme et angoisse de la cécité
Au-delà de ces questions de stratégie picturale ou de perturbation de la vision stéréoscopique, j'ai le sentiment que Rembrandt a développé une sorte d'angoisse de la cécité. C'est impossible à démontrer, mais la récurrence du thème de l'aveugle ou du borgne dans ses oeuvres est tout de même frappante.
Il apparait dans des dessins, à travers des scènes de rue:
REMBRANDT 1631 AVEUGLE JOUANT DU VIOLON

REMBRANDT AVEUGLE JOUANT DU VIOLON

Ou bien à travers des scènes bibliques, en particulier le personnage de Tobie:
REMBRANDT 1651 TOBIE AVEUGLE

REMBRANDT 1651 TOBIE AVEUGLE DE DOS

REMBRANDT JACOB BENISSANT LES FILS DE JOSEPH

Son expression la plus violente réside sans doute dans cette oeuvre terrible:
REMBRANDT 1636 L AVEUGLEMENT DE SAMSON

REMBRANDT 1636 L AVEUGLEMENT DE SAMSON (détail)

Et puis bien-sûr ici:
REMBRANDT 1661 62 LA CONJURATION DE CLAUDIUS CIVILIS

REMBRANDT 1661 62 LA CONJURATION DE CLAUDIUS CIVILIS (détail)

Mais le thème émerge aussi de façon métaphorique:
REMBRANDT 1650 53 SAUL ET DAVID (détail)

Il apparait dans des dessins, à travers des scènes de rue:
REMBRANDT 1631 AVEUGLE JOUANT DU VIOLON

REMBRANDT AVEUGLE JOUANT DU VIOLON

Ou bien à travers des scènes bibliques, en particulier le personnage de Tobie:
REMBRANDT 1651 TOBIE AVEUGLE

REMBRANDT 1651 TOBIE AVEUGLE DE DOS

REMBRANDT JACOB BENISSANT LES FILS DE JOSEPH

Son expression la plus violente réside sans doute dans cette oeuvre terrible:
REMBRANDT 1636 L AVEUGLEMENT DE SAMSON

REMBRANDT 1636 L AVEUGLEMENT DE SAMSON (détail)

Et puis bien-sûr ici:
REMBRANDT 1661 62 LA CONJURATION DE CLAUDIUS CIVILIS

REMBRANDT 1661 62 LA CONJURATION DE CLAUDIUS CIVILIS (détail)

Mais le thème émerge aussi de façon métaphorique:
REMBRANDT 1650 53 SAUL ET DAVID (détail)

Jean-Yves Amir- Admin
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Re: Hollandaise 2 : Rembrandt de près ou de loin, stabisme et angoisse de la cécité
Ces relations que j'essaie d'établir entre les stratégies picturales flou/net de Rembrandt, son strabisme supposé et son angoisse de la cécité, sont bien entendu des relations "hypothétiques intuitives" que je serais bien en peine de démontrer plus avant.
De même, les questions d' "oeil paresseux" / strabisme / amblyopie / cataracte dépassent largement mes compétences médicales. Néanmoins, le nombre de dessins de Rembrandt représentant l'opération de la cataracte montre bien que cela devait constituer une sérieuse préoccupation pour lui.





A ce sujet, on lira avec intérêt l'article "L'opération de la cataracte à travers l'oeuvre de Rembrandt" sur le site du SNOF (Syndicat National des Ophtalmologistes de France) auquel j'ai emprunté les images ci-dessus.
http://www.snof.org/encyclopedie/lop%C3%A9ration-de-la-cataracte-%C3%A0-travers-loeuvre-de-rembrandt
De même, les questions d' "oeil paresseux" / strabisme / amblyopie / cataracte dépassent largement mes compétences médicales. Néanmoins, le nombre de dessins de Rembrandt représentant l'opération de la cataracte montre bien que cela devait constituer une sérieuse préoccupation pour lui.





A ce sujet, on lira avec intérêt l'article "L'opération de la cataracte à travers l'oeuvre de Rembrandt" sur le site du SNOF (Syndicat National des Ophtalmologistes de France) auquel j'ai emprunté les images ci-dessus.
http://www.snof.org/encyclopedie/lop%C3%A9ration-de-la-cataracte-%C3%A0-travers-loeuvre-de-rembrandt
Dernière édition par Jean-Yves Amir le Mer 21 Déc 2016 - 15:30, édité 3 fois
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Re: Hollandaise 2 : Rembrandt de près ou de loin, stabisme et angoisse de la cécité
Voir Rembrandt de près ou de loin?
Il vous suffit de faire un saut au Rijksmuseum d'Amsterdam via Google Street View!
https://www.google.fr/intl/fr/streetview/#rijksmuseum-amsterdam/rijksmuseum-night-watch-gallery
Il vous suffit de faire un saut au Rijksmuseum d'Amsterdam via Google Street View!

https://www.google.fr/intl/fr/streetview/#rijksmuseum-amsterdam/rijksmuseum-night-watch-gallery
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